Les races existent !

Publié le par Werwolf spirit

En parcourant plusieurs sites et forums sur Internet, j’ai pu m’apercevoir qu’énormément de personnes croyaient en l’existence d’une race humaine. Pourtant, suite à cette information qui commence à dater, bon nombre de scientifiques ont quand même découvert des différences et qu’on peut donc désormais parler de races au sein de l’espèce humaine d’un point de vue scientifique. Mais il ne faut pas en vouloir à ces personnes qui n’ont comme source d’information, les différents médias conformistes qui oublient de mentionner certains détails qui pourraient déstabiliser le nouvel ordre mondial. Donc, voici un article qui était apparu il y a quelques mois de cela sur voxnr et qui établit la vérité.

Un mythe s’effondre?

Contrairement à l’idée défendue depuis le milieu du XXème siècle, “on peut définir scientifiquement des races dans l’espèce humaine”, avancent trois chercheurs américains dans un article publié jeudi dans la revue française La Recherche sous le titre : “Les races humaines existent-elles ?”.

Ces propos relancent le débat sur le sujet très controversé de l’existence des races en rappelant que ce ne sont pas les races en elles-mêmes qui sont dangereuses mais l’interprétation qu’on en fait. Les auteurs précisent ainsi que “les usages que l’on prétend faire en médecine d’une classification raciale sont sujettes à caution” et lui préférent une “classification par ascendance”.

Depuis une cinquantaine d’années, rappellent Marcus Feldman, du département de biologie à l’Université de Stanford, Richard Lewontin, du musée de zoologie comparative à l’Université d’Harvard, et Mary-Claire King, du département de génomique et de médecine à l’Université de Washington, la race d’une personne était définie par les “types distinguables au sein d’une espèce”.

Depuis le 26 juin 2000, date à laquelle le séquencage du génome humain a été achevé à 95 %, “on peut regrouper les personnes, soulignent-ils, selon les zones géographiques d’où elles sont issues”. Les observations montrent en effet que “la variabilité génétique se situe pour l’essentiel à l’intérieur de chaque groupe et très peu entre les groupes”. Et les scientifiques d’ajouter que “les différences génétiques entre régions géographiques sont très faibles, en comparaison de celles observées au sein de toute population locale”.

Si l’on peut effectivement définir des races, il n’est pas toujours pertinent de se servir de ce critère en médecine : “Si l’on veut utiliser efficacement le génotype pour des décisions diagnostiques et thérapeutiques, ce n’est pas la race qui importe, mais les informations sur l’ascendant du patient”, concluent les trois chercheurs.

Werwolf spirit

Publié dans Sciences

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article