Bienvenue dans la dictature Sarkozyenne

Publié le par Werwolf spirit

La république et la démocratie française étaient déjà une vaste supercherie et cela, nous le savions déjà, mais désormais, nous sommes depuis l'élection de Nicolas Sarközy, dans un régime dictactorial, où les principes idéologiques obligatoires et non discutables, sont la démocratie, les droits de l'homme et l'universalisme. 

Une dictature ne fonctionne pas, bien sur, sans interdiction. Ces interdictions, les voicis : 
 - Liberté d'expression interdite
 - Liberté historique interdite
 - Liberté de penser interdite
 - Etre fier d'être européens interdit

Ce ne sont que quelques exemples d'interdiction mais malheuresement bien réelles. Dans cette dictature, il faut que tous les citoyens pensent comme le régime, adhèrent à l'histoire "officielles" sans esprit critiques, ne s'exprime que sur des sujets qualifiés de politiquement correct, et doivent culpabiliser dès sa naissance, et jusqu'à sa mort d'être européens. 

Ce qui caractérise une dictature, c'est aussi la manipulation que subit involontairement les citoyens. 

Premier exemple de manipulation : Manipulation des chiffres de la délinquance

"Le système triche avec ces chiffres, c'est une manipulation", dénonce Jean-Hugues Matelly, chercheur au Centre d'études sur la police à Toulouse et coauteur avec Christian Mouhanna, chercheur au CNRS, d'un réquisitoire sur la façon dont le ministère de l'Interieur comptabilise les chiffres de la délinquance.

"On triche plus depuis douze ans", ajoute le chercheur. Il nuance toutefois son propos, en fonction des périodes, celles du gouvernement Jospin (1997-2002) et Raffin et Villepin (2002-2007) lorsque M. Sarkozy a été ministre de l'intérieur.

Sous Jospin, selon les auteurs, il y a eu "peu de motivation pour fournir de bons chiffres" et le "pouvoir politique en place (a été) sanctionné à l'élection présidentielle de 2002".

C'est l'inverse, arguent-ils, sous les gouvernements suivants où "le système politique triche plus". Les auteurs énumèrent les "techniques de manipulation" : refus d'enregistrer une plainte, déqualification d'une infraction de délit en contravention (non prise en compte dans les statistiques), regroupement de plusieurs délits sous un seul procès-verbal et en un seul comptage statistique. Tout ceci afin d'éviter toute hausse embarrasante des "stats"."

Article provenant d'un grand quotidien régional.

Deuxième exemple : Manipulation médiatique

Au delà des éternels discours de propagande universaliste, les médias, qui n'a peut être pas toute sa liberté en la matière, même si ces responsables sont main dans la main avec le pouvoir en place, évitent de mentionner certains faits divers qui pourrer être succeptible de gêner voir de mettre en danger le régime en place. L'un de ces faits date de cet été, seul le journal "le monde" (pourtant politiquement correct) a osé diffuser ce qui s'est passé. 

A votre avis ?

Et bien une émeute de banlieues tout simplement. Certes, moins destructrice que les émeutes de novembre 2005, mais les faits sont bien là. Il y a eu beaucoup de casse, et les forces de l'ordre ont dû intervenir en nombre. Vous pouvez lire l'article en question dans le n°32 de "Terre et Peuple". Alors qu'on subit à l'heure actuelle un matraquage médiatique sur les chiens dits dangereux (mais, il faudrait s'intéresser aux maîtres qui les rendent dangereux, et il est fort à parier qui s'agit encore et toujours, en très grande majorité, des mêmes acteurs qui participent aux émeutes de banlieues), les médias "oublient" de mentionner un tel fait divers, pourtant loin de la petite bagarre de récréation. 

Bref, pour le régime en place, certaines informations doivent rester secretes pour les citoyens, pour tout simplement, la pérennité de la ripoublique française.

Werwolf spirit

Publié dans Politique

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